C.WHEELER - No, I'm not the man I used to be lately.

• fiche d'identité.

Nom : Wheeler, nom de jeune fille de sa mère. Après le divorce de ses parents, la garde du jeune garçon fut attribué à Moëra Wheeler. Ils n'ont aucune nouvelle de James Busselton depuis près de dix ans.
Prénom(s) : Calum James. Son prénom, autant écossais que sa nationalité, est une variante du prénom Malcom.
Surnom(s) : Calum détient autant de surnoms que d'amis, de conquêtes et de bêtises d'enfance. Autant dire que la liste est très très longue. Cependant, il a l'habitude de se faire surnommer Callie, les jours où il est de mauvaise humeur. Allez donc savoir pourquoi... Sa confidente secrète le surnomme 'Chuck' alors que lui l'appelle 'Norris'. Vous avez bien comprit. Ne me regardez pas avec ces gros yeux !
Date et lieu de naissance : Voilà près de 27 ans que Calum a vu le jour, un 7 janvier particulièrement glacial dans la ville de Dalkeith en Ecosse.
Groupe : Très jeune, Calum était passionné de lecture et d'écriture. Son goût de l'aventure et sa curiosité le prédestinaient à un métier où les énigmes seraient Reines et où les femmes en seraient les récompenses. Bon, d'accord, la dernière partie de ladage est pur fantasme. Soit. Quelle association plus ingénieuse, saupoudrée d'un brin d'humour et de beauté pouvait vous donner un journaliste dont le travail assidu et aimé faisait de lui une personne de qualité ? Aujourd'hui, Calum avance avec brio sous les ordres du rédacteur en chef John Kelson, mentor respctueux et respecté. Il est journaliste-reporter à ses heures, et il se trimballe partout où il le peut accompagné de son fidèle appareil photo numérique de pointe.

• la malédiction.

Que pense votre personnage de toute cette histoire ? : Ce ne sont que des conneries. Des racontards pour excuser le possible échec que serait Soft Parade. Bien que son métier est d'obéir aux ordres de son chef hiérarchique, le jeune Calum blâme la conscience publique qui préfère observer un tournage 'maudit' plutôt que de se pencher le problème du génocide au Rwanda ou bien de l'invasion des russes en Géorgie. Le monde est bel et bien fait pour le spectacle et bien qu'il travaille dans le domaine, quelques fois, il ne peut s'empêcher d'être écoeuré de son comportement et de ceux qui aime le sensationnel 'people'. Si ça ne tenait qu'à lui, il n'aurait jamais mit les pieds à Liverpool et n'aurait eu que de vagues échos de l'histoire par le biais de sa meilleure amie, Asley Weisman, au fin fond de la savane ou de la pampa d'Amérique du Sud. Jusqu'alors, ne donnant son avis qu'à sa meilleure amie, il jouait le rôle parfait du petit scénariste, éxcité à l'idée de participer à l'élaboration d'un film à gros budget. Sa position ayant évoluée lors du dernier mois sur le tournage, il ne sait plus s'il doit regretter ou bénir sa mutation sur Soft Parade au profit d'un article 'sensible sur les problèmes du monde'. En fait, son seul problème, c'est Evoleth. Du reste, il déteste le côté emblématique que prend cette histoire. Ce n'est pas Star Wars, tout de même !

Votre personnage craint-il que la malédiction s'abatte sur lui ? : Vampire, vous avez dit vampire ? Non, c'est pas ça. Malédiction ? Vous plaisantez ! Naître dans le pays des châteaux hantés peut vous rendre complètement stérile à ce genre de balivernes que les vieilles bonnes femmes aiment raconter autour d'elles. Suivant très tôt les avis de son pater, Calum a vite sut déjouer les mythes que les vieilles écossaises aimaient lui raconter quand il faisait des bêtises en étant gamin. Si à trois ans il craignait les fantômes, à cinq il a fait foirer toute une pièce de théâtre de l'école principale de la ville de Glasgow en coupant des trous dans les draps qui devaient servir aux interprêtres des fantômes d'une des pièces de Shakespeare. A dix il avait terminé de lire les mythes d'Ecosse et d'Angleterre et à quatorze, il vouait un culte à toutes les légendes mythiques, urbaines et autres contes de vieilles bonnes femmes du monde entier. Le tournage de Soft Parade peut le mettre en danger ? Quel danger ? Lui, il aime le danger. Il se rit du danger...

Que pense-t-il de Donna et Jay ? : Disons qu'il ne préfère pas se prononcer. Jusqu'à preuve du contraire, ce sont deux chefs incroyablement têtus, un brin cinglés, et difficilement cernable. Mais comme on dit : petit à petit, l'oiseau fait son nid, et Calum est en train de compléter les pièces manquantes du puzzle Donna et Jay. Tout ce qu'il peut dire, c'est que Jay est un type cool. Surtout lorsqu'ils se retrouvent tous les deux en compagnie de magnifiques strip-teaseuses et de quelques verres d'alcool dans le nez.

• matière grise.

Il n'a pas peur du ridicule.
Plus amateur de rock que lui ? Connait pas.
Il voue un culte aux Simpson et à Albator.
Il s'est déjà travestit pour un reportage.
Il imite parfaitement Jim Carrey, sa soeur et Al Pacino dans The Godfather.
Il imite souvent Gibbs, dans NCIS... les tapes sur la tête, c'est son dada.
Il se damnerait pour... un flanby.
Mick Jagger. Tout court.
Eloignez-le des bars, des pubs... Vous n'en sortirez jamais indemne.
Sa plus grande crainte ? Se retrouver dans une pièce, seul, avec toutes ses ex. Non. Même trois, ça le fait flipper.
Il est sans pitié.
Il adore les défis. C'est peu de dire qu'il s'est déjà promené uniquement vêtu d'une pancarte réclamant des Free Hugs ? Vous y étiez ? Ah bon, dans ce cas...

• souvenirs.

» Santa Claus doesn't exist, Kiddie !
(feat Tatie Figue, Moëra II and Calum).

Les rues de Dalkeith étaient vides de monde à cette heure. Vingt heures sonnaient et mis-à-part quelques retardataires qui se mettaient en route, les seules formes de vie humaine résidaient dans les appartements, les maisons et autres pubs aux lumières chatoyantes et aux vitres embuées. Les petites maisons de la rue Glasgowthry étaient alignées de part et d’autre d’une petite route en lacets : vous ne saviez jamais sur quoi vous alliez tomber à l’un des tournants et le charme de l’endroit séduisait bon nombre des voyageurs en route pour la capitale du pays, Edinbourg. Les seuls réconforts visibles étaient les décorations de Noël, indélicatement secouées à chaque nouvelle bourrasque de vent.

Los flocons de neige se remirent à tomber lorsque deux petites silhouettes sortirent d’une des maisonnées au toit couleur nuit. Le petit garçon, emmitouflé dans un manteau rouge et vert trop grand pour lui et qui ne devait certainement pas être le sien, ronchonnait tout en tirant une petite chose aux boucles dorées par la main. De l’autre, il s’évertuait à faire tourner la monnaie que sa mère lui avait confiée pour récupérer l’une des spécialités de la pâtissière du quartier, Mrs Fague.

« Pourquoi on va chez Tata Figue. »
« C’est pas ta tante, morveuse ! »
« Mais pourquoi on y va ? Je veux faire des bonhommes de neige, m… »

Les plaintes stoppèrent nets : sa chute l’avait fait littéralement mordre la poussière. La neige, dans le cas présent. Calum, exaspéré, rangea ses pièces dans la poche de son manteau et passa ses petits bras sous les aisselles de sa sœur pour la relever : mais la tâche fut plus ardue que prévue, ses moufles l’empêchant d’empoigner correctement le frêle corps de Moëra, et l’aîné Wheeler tomba de tout son long sur sa petite sœur.

« T’es maladroit ! Tu m’étouffes Callie ! »
« Est-ce que je me plains quand tu envahies mon air, moi ?! »
« OH ! C’est pas parc’que t’as sept ans maintenant que tu dois faire ton fier… »

Depuis quelques jours, Calum ne cessait de faire l’intéressant grâce à cette nouvelle année de gagner –une année de conneries mais bon- et c’était peu de dire qu’il ne se privait pas de rappeler à sa sœur à quel point elle était petite. Dans tous les sens du terme. Les deux gamins encombraient sans la moindre vergogne le petit passage qui menait de la cuisine à la rue. A leurs côtés, plusieurs petite fenêtres donnaient une vue sur la cave –terrifiante- des Wheeler. Alors que le petit garçon donnait deux petites claques amicales à sa sœur, il eut l’impression qu’il y avait du mouvement à l’intérieur de la cave. Craignant plus de voir deux gros yeux jaunes le fixer à travers les petits carreaux sombres, il aperçut quelque chose qui lui transperça le cœur. Littéralement, il se sentait trahi et haineux.

« Allez, Gamine, on y va ! » Lança Calum en se relevant automatiquement, préférant ne pas montrer le moindre signe étrange à sa sœur. La petite demoiselle, vêtue d’un beau manteau couleur crème et d’une jolie robe à carreaux verts et rouges, accepta les mains gantées que son frère lui tendait.

« Bonjour, les enfants ! »
« Bonjour Madame Fague. » Chantèrent les deux Wheeler.
« Vous êtes très beaux aujourd’hui ! Entrez donc, le temps que j’aille emballer la commande de votre Maman »
« Arrête de faire ta fière » Lança Calum dans un murmure.
« Mais elle m’a dit que j’étais belle… »
« Moi aussi, c’est pas pour ça que je fais le coq ! »
« T’as l’air d’une patate comme ça »
« Je suis beau quand même ! »
« Mais t’as quand même l’air d’une patate ! » Rétorqua-t-elle, avec un sourire mi-figue, mi-raisin. C’est sur le regard éloquent que lui envoya Calum –qui voulait plutôt dire : je vais régler ton compte- que Mrs Fague réapparut de la porte de la cuisine avec un paquet dans les mains.

« Et voilà ! Merci, jeune homme »
« Ma maman a pas voulu me donner l’argent »
« Oh mais c’est parce que tu es encore trop petite, je suis sûre que dans quelques temps, tu vas pouvoir aussi porter la monnaie »
« C’est toujours Calum qui fait tous les trucs des grands »
« Jalouse »
« Patate ! »
« Stop ! Je vois que tout va pour le mieux ! Tenez, j’ai ça pour vous »

De derrière son dos, Mrs Fague sortit deux petits sachets en plastique où un gros cookie était placé dans chacun d’eux. Les cookies de Mrs Fague étaient les meilleurs de la planète, que dis-je, du monde entier, pour Calum. Et pourtant, cette fois-là, le cœur n’y était pas et les acclamations ne vinrent que de la petite fille qui sautillait sur place.

« Voilà pour toi jeune fille »
« Merci Tatie Figue ! »
« Tu peux attendre de hors ma toute belle, j’aimerais avoir une conversation de grands avec ton frère »
« Mais… »
« Si tu le fais, tu pourras porter la bûche de ta maman ! »
« YOUPIIII » S’exclama Moëra en empoignant le paquet en carton que lui tendait Mrs Fague. Elle sortit presque aussitôt, retenant jalousement le dessert dans ses bras, de peur que Calum ne le lui vole.

« Et bien, mon petit Calum, tu ne veux pas de mon cookie ? »
« Ca sert à rien »
« Pourquoi ? »
« Parce qu’au final, ce seront mes parents qui mangeront la moitié »
« Explique-moi » Lança la vieille femme en se mettant à la hauteur du petit blond aux yeux océans.
« Chaque année, je laisse la moitié de mon cookie pour le Père Noël »
« Et… » S’enquit Mrs Fague, devinant la fin de l’histoire.
« Le père noël n’existe pas »

Mrs Fague ébouriffa la touffe de cheveux qui dépassaient de la grosse écharpe que Calum portait. Son sourire, maternel, n’arriverait pas à apaiser la colère du petit bonhomme tout de suite.

« Tu l’a appris… involontairement. Moi aussi, j’ai eu du mal à accepter ça quand j’étais petite comme toi… »
« Et alors ? »
« Je ne l’ai pas dit à mon petit frère. Lui, il devait encore croire pleinement à la magie de Noël… »
« Mais… ils mentiront à Moëra. Je neveux pas qu’on mente à ma petite sœur »
« C’est un beau mensonge. Tu ne trouves pas ? »

Cette nuit-là, Calum laissa la moitié de son cookie. A côté du morceau de sa sœur, sous le sapin.

» Friendship is hazardous for the health's... others.
(feat Asley and Calum).

Le réveil diffusa sa sonnerie stridente dans la piaule minable dans laquelle Calum avait l’impression de toucher le plafond. Dans un sens… c’était vrai. Qui aurait crut qu’un jour il serait envoyé au beau milieu de l’Arkansas pour un article inutile à son journal. Le mot ‘augmentation’ pouvait vous faire faire bien des conneries quand il se mêlait de vos problèmes d’argent. En plus, il détestait le numéro de sa chambre : le 7. Tout portait la poisse, dans cette foutue région.
Claquant sa langue pâteuse contre son palais et ressentant un excès de fainéantise, il laissa le réveil s’égosiller et changea de position dans son lit. Les deux bosses que son front rencontra en chemin le laissèrent sans voix. Et bien que la fatigue se faisait ressentir dans le moindre recoin de ses membres, il attachait une attention particulière à ne pas exploser de rire à ce même instant.

-Wheeler, si tu veux la vie sauve, dégage de là !
-Quoi, je suis tellement bien là… tu sais que ma mère a eu du mal à me sevrer…
-T’es dégueu !

La blonde pulpeuse ouvrit les yeux et à l’aide de ses paumes, elle repoussa le pauvre crâne de l’écossais qui éclatait enfin de rire qui se releva sur le matelas pour sauter dessus. Il fallait bien l’avouer, le jeune homme avait la classe en caleçon aux motifs canard.

-DEBOUUUT LA GROSSE !
-Mais merde, il est même pas… NEUF HEURES ! PUTAIN, FAIS CHIER, ON EST EN RETARD ! A LA DOUCHE !
-OUAIIII !

Asley se leva et à son tour de bout sur le lit, elle se plut à sauter également dessus. Hilares, ils commençaient à s’attraper les mains et à faire une ronde sur le lit dont les crissements plaintifs affirmaient une casse future.

-Faut vraiment… allez te laver les dents, t’as une de ces haleines le matin !
-Et toi, faudrait penser à arrêter l’alcool, sérieux, tu fais peur !

Le sommier céda sous le poids et les deux comparses tombèrent à la renverse. Enfin, Calum tomba sur le dos et Asley l’écrasa de tout son poids.

-Tu sais, Ass ! C’est pas parce que ton tour de poitrine ne m’attire pas que tu dois m’agresser sexuellement !
-Non, mais, t’es malade ! C’est toi qui a bien faillit me violer hier !
-OOOh ! Excuse-moi, j’ai vraiment crut que c’était Jenna… tu sais, ces blondes, elles se ressemblent toutes… oh !

Calum jeta sa meilleure amie sans la moindre délicatesse sur le côté et se replia en position fœtale. La blonde courait vers la salle de bain alors que le pauvre Wheeler se tordait de douleur. Quelques minutes plus tard, c’est un Calum aux jambes arquées qui arriva à son tour dans la salle de bain et découvrit une Asley en train de mouvoir ses hanches sur un rythme imaginaire. Il n’était difficile d’imaginer lequel.

-T’étais obligée de faire ça ? Lança t-il en jetant un regard désolé vers son entrejambe. IL VA MOURIR SI TU T’EVERTUES A LE MARTYRISER COMME CA !
-H’H, h’est hon, hu has has hen haire hou’ hun hrohage…

Le regard éloquant que lui envoya Calum évoquait tout son ressenti actuel : des fois, il avait vraiment honte d’être le meilleur ami de cette fille. A son tour, il attrapa sa brosse à dents, l’enduisit de pâte dentifrice et commença à son tour à remuer son derrière au rythme des coups de brosse violents que subissait sa dentition. Weisman et Wheeler marmonnaient un air incompréhensible pour d’autres mais aimé de la paire W. La situation était plus que cocasse. Les deux journalistes devant la glace prenant soin de leur hygiène dentaire et remuant leurs hanches en rythme. Vraiment. Le soir qui suivit la longue et harassante journée se solda d’un petit mot collé à la porte. Et d’une dizaine de papiers callés sous la porte. Leurs destinataires ? Le couple de la chambre 7. Ils faisaient trop de bruit durant leurs ébats et étaient priés de ne pas démolir le mobilier du motel durant ceux-ci.

Amen.

» Not In the Mood for Love.
(feat Evoleth and Calum)

Les rideaux laissaient passer les maigres rayons lunaires dans la chambre bordélique dans laquelle il se trouvait. En détournant le regard de son obsession première, il découvrit que l’heure avait étrangement avancée depuis la dernière fois qu’il avait posé ses yeux sur le réveil digital qui était derrière lui, sur une petite table de nuit en bois clair. Trois heures quarante cinq minutes… Il était trois heures et quarante-six minutes et il n’était toujours pas endormit. D’habitude, il aurait sauté dans les bras de Morphée à l’instant même où la jeune femme qu’il avait accompagné dans une étreinte passionnée et fougueuse aurait trouvé le sommeil. On était écossais et gentleman ou alors on ne pouvait pas prétendre à la concurrence de romantisme avec les british et leurs foutus dandies.

Mais le problème était là. Voilà près de deux heures que la jeune femme avait une respiration lente et régulière, et lui ? Il n’arrivait pas à fermer les yeux. Son regard océan n’avait de cesse d’observer les courbes qui s’étaient glissées sous son drap quelques heures auparavant. Il n’arrivait pas à s’endormir. Au bout d’une vingtaine de minutes d’insomnie, il avait comprit. Cette fois, ce n’était pas pareil. Mais qu’est-ce qui avait changé cette fois, bon sang ?!

Evoleth Priestly était comme les autres femmes. Elle était jolie, comme les autres. Raffinée. Comme les autres. Et elle était plutôt pas mal au lit. Comme… ah non, pas comme les autres. Parfois, il tombait sur des cas, mama mia… Soit. La question n’était pas là. Qu’est-ce qui la différenciait des autres…

A ce moment, la jeune femme se retourna sur le dos faisant sursauter le jeune Calum qui s’attendait plutôt à la voir immobile durant son sommeil. Son visage lui était offert, sa gorge lui était offerte. Sa poitrine égal… STOP. Il rougissait. Nom de… le noir avait beau le dérober de son propre reflet, il sentait ses joues s’enflammer rien qu’à l’idée de traiter Evoleth comme les autres. D’un geste tendre –mais que lui qualifiait de normal- il remonta le drap sur le corps dénudé de sa conquête nocturne et repartit dans le cours de ses réflexions. Elle avait l’air si paisible, étendue, faisant fi des rayons lunaires qui éclairaient son visage. A sa place, il se serait levé depuis longtemps et aurait clôt les rideaux après avoir hurlé haut et fort à la lune que ‘t’es qu’une conne parfois !’.

Souriant calmement, il allait porter le bout de ses doigts contre la peau de son visage… mais il arrêta le mouvement avant même d’avoir put sentir la douceur de perle de celle qu’il avait apprit à connaître pendant un mois. Il ne souriait plus. Il avait comprit. Ou du moins, semblait comprendre. Il fit marche arrière et le froid qui le prit à la gorge en sortant de sous les draps manqua de le faire jurer. Il attrapa son caleçon, l’enfila rapidement et à tatons, il récupéra toutes ses affaires. Cinq minutes plus tard, il avait passé le pas de la porte et vagabondait dans les rues de Liverpool.

Non. Ce n’est pas vrai. Sa peau n’est ni douce ni ‘perlée’. Mec, tu parles comme un de ces poètes à la noix qui fait tout pour avoir une fille dans son plumard… TU es le grand séducteur CALUM WHEELER. Tu ne connais que le sexe et les vieilles blagues de tes potes. Tu ne connais pas de femme accomplie, sublime et qui a du mordant. Tu ne connais pas ça… ça… ça n’existe pas…

« … pas vrai ? » Lança-t-il de désespoir à un des quais du port qu’il avait rejoint à la seule aide de ses pas. Combien de temps avait-il marché ? Depuis quand il avait oublié ce qui l’amenait réellement ici ? Depuis quand était-il amoureux d’elle ? Il aurait juré que ses jambes commençaient à le lâcher. Avec précaution, il s’assit sur un banc qui faisait face à la mer d’Irlande et il resserra autour de lui la prise de sa maigre veste en jean. Lorsque le visage de sa meilleure amie Asley lui revint en mémoire, il passa sa main sur son visage.

« Dans quel merdier tu t’es encore foutu, Wheeler… » A ce moment, son regard n’était pas celui d’un homme mûr et sûr de lui comme 2 et 2 font 4. Il avait plutôt l’air d’un garçon qui était tombé amoureux pour la première fois de sa vie et qui ne savait pas comment s’y prendre… Et dans un sens c'était vrai.

Pour la première fois, Calum Wheeler était amoureux. Et pour la première fois de sa vie, il rendait les armes... il était terrifié.

interrogatoire.

Avatar : Jensen Ackles. L'Homme-Fantasme.
Pseudo / Surnom(s) : Natie AKA tous ses désespoirs du moment...
Que pensez-vous du forum ? : J'AIME DE TROP. La preuve, au final, j'ai pas pu résister à une seconde inscription. Vive la nuit qui porte conseil
Où avez-vous trouvé l'adresse ? : Heuuu... Bazzart.
Quelle administratrice préférez-vous ? : D : la réponse D.

Natie tu fais iech. Rolling Eyes

si j'avais su, j'aurais refais une neala
*boude* tongue

BIENVENUEE love

Zyggui > C'est pas grave, on sera amis coeur

Cheyenne > Merci love

Bienvenu
Un lien ?

Spoiler:

Invité

C'est quand même grâce à moi si tu t'es réinscrite. pff

CHUPAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA youhou

Nombre de messages : 18 Date d'inscription : 16/11/2008

JENSEEN
Bienvenuue.

Ma Dodow > Boudinonne pas I love you

Hazel > Bien sûr Very Happy

Très beau prénom I love you

Ma Che Tagadouille > OUI love

Mileasy > Merci youhou

Edit : NATALIIIIIIIE coeur

Au nom du code d'honneur de Chelsea, je t'aime plus.

...
Mais non impossible meugnon

T'as interet a avoir un lien super coul qui dechire tout avec myself.

Invité

Je suis trop forte. J'amène Natie, et Madoow. Aaaah. J'ai du pouvoirs.

Merci
Est-ce que tu as une petite idée ??

YEAH. Contente de voir que tu as changé d'avis et qu'en plus, tu as pris Calum. I love you

NOM DI DIOU. JENSEN. dead

Citation :: D : la réponse D.

Y'en a une qui a regardé les bonus du DVD de Gad. Laughing

Bienvenue à toi, ô grand et magnifique meilleur ami. Laughing

J'ai failli reprendre le nom de famille WHEELER pour ce rpg. On s'en fout ? OK.

Bienvenuuue.

Ma Dodow > QUOIIII ? Shocked

JE REFUSE CHELSEA A PAS LE DROIT DE BOUDER NORMA, pake, Norma pleurera toujours dans ses toilettes et lui écriras TOUJOURS sur la figure après les cuites ptdr

T'inquiète, je commence à carburer fouet2

Spoiler:

Ma CHE TAGADOUILLE > Graveeeee Shocked

J't'aime plus non plus, vous arrêtez pas de me tenter ptdr

*

Spoiler:

Hazel > Heuuu, non XD

Meilleure n'amie > Ouiiii meugnon

Moi, je dis, Scarlett, elle est magnifique dead

Ah, non, mais bon, des fois, à la télé, y'a des sketchs qui passent

Hugo > Merci Very Happy

Ah ? XD j'ai fais que prendre un scénar en demande, à la base, j'avais aucune idée pour l'identité Laughing

Merciiii

Surtout que l'histoire Evoleth-Calum-Asley, c'est quand même une grande et belle histoire. I love you

YEAH.

AH. Bon alors, j'ai rien dit.

Oui, j'avais vu le scénar'. Je voulais juste racontais ma vie. De rien.

Hors-Sujet; Est-ce Aidan Trager (?) de Complications ? Si je me trompe, j'ai pas l'air conne.

Meilleure n'amie > Houuuuu ptdr

Ca risque de promettre, en effet

Hugo > Si, en effet Suspect

Invité

MCGYVER

MA GRANDE DINDE Shocked

Invité

Invité

Calum Wheeler a écrit:

Ma CHE TAGADOUILLE > Graveeeee Shocked

J't'aime plus non plus, vous arrêtez pas de me tenter ptdr

*

Spoiler:

Encore heureux que tu m'aimeras toujours, car mon monde sans ma Chupa ne vaut pas le coup d'être vécu.

Joshua > Oui héhé

Merci

Che > Ouiiii meugnon

Invité

Calum Wheeler a écrit:: Che > Ouiiii

JE T'AIME MA CHUPAAAA love

(Je suis en manque d'affecton Laughing

)

» Wheeler, for ever.
» M. WHEELER __ undo her damage, she'll be new again
» WHEELER • i call it Karma.