Evoleth Priestly

fiche d'identité.

Nom : Priestly.
Prénom(s) : Evoleth, Cassiope.
Surnom(s) : Leth', Evoly, ...
Date et lieu de naissance : Le 21 Juillet 1986 à Gold Coast, Australie.
Groupe : Actrice.

la malédiction.

Que pense votre personnage de toute cette histoire ? : Baliverne ! Du moins ce qu'elle montre en apparence. Car intérieurement, elle serait prête à y croire. Le surnaturel a toujours été une certaine fascination chez elle. Naïve, serait le mot convenu sans doute. Mais le monde peut-être tellement surprenant, que cela ne l'étonnerait pas que les fantômes existent ainsi même que des malédictions. Alors ce qu'elle en pense ? Indécise. D'un côté les faits relatés depuis des années, enchaînant incidents sur incidents, ne peut qu'accroître le point de vue d'Evoleth. Et d'un autre côté cela ne pourrait qu'être une simple rumeur ayant prit de l'ampleur et maintenant usé à des fins personnels pour promouvoir le film.
Votre personnage craint-il que la malédiction s'abatte sur lui ? : Pourquoi le mauvais sort s'acharnerait sur la douce et délicate Evoleth ? Certes, cette histoire ne la laisse pas indifférente, et elle n'est pas totalement en désaccord avec toutes ses faits exposés comme une malédiction. Mais de là à penser que cela s'abatte sur elle. Quoi que elle ne serait pas étonnée. Lui arrivant au minimum une bricole par jour, elle pourrait bien être la prochaine. Effrayant ? Pas vraiment. Ses chutes à répétitions, ainsi que ses cabrioles n'ont fait qu'endurcir la jeune demoiselle. Toutefois, elle ne préfère pas y penser, et faire le simple travail qu'on lui demande.
Que pense-t-il de Donna et Jay ? : Charmante et charmant. A vrai dire, elle n'a jamais prit la peine d'avoir une réel discussion avec l'un d'entre eux, et vice versa. Cela lui arrive de les croiser sur le tournage. Quelques "salut" par ci par là, mais rien de bien extraordinaire qui pourrait influer sur un quelconque jugement envers ses deux personnes.

matière grise.

- Un sens de l'humour assez particulier.
- Une vrai tête de mule qui ne démordra pas même si elle a tord, ce qui ne lui arrive d'ailleurs que très peu.
- Une peur bleue des ascenceurs.
- Aime lire les magazines people !
- Ne mange que les dragibus rose et vert.
- Plume tout le monde au poker.
- C'est une as du volant, jamais un point en moins, du moins elle ne s'est jamais fait chopée.
- Le klaxon, son jouet favoris au volant.
- Sait retenir sa respiration plus d'une minute trente sous l'eau.
- Adore regarder les émissions débile à la télévision.
- Idole Elvis Presley et Led Zeppelin.
- Est une excellente masseuse.
- Fait une fixation sur les doigts de pieds. Allez savoir pourquoi.
- Est déjà restée coincé dans une cheminée, lorsqu'elle avait voulu suivre le père noel.
- Excellente joueuse de tennis.

interrogatoire.

Avatar : Jessica Stroup.
Pseudo / Surnom(s) : Woody Pepper, Sweet.
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Où avez-vous trouvé l'adresse ? : Lika
Quelle administratrice préférez-vous ? :

souvenirs.

TOURNAGE DE THE SOFT PARADE; WILLIAM EDWARDS & EVOLETH PRIESTLY

« Embrasse m.. »
Et avant même qu'elle est pu terminer la fin de sa phrase, les lèvres de William s'emparaient des siennes. Le baiser fougueux prenait de l'ampleur avant qu'Evoleth finisse par le pousser violemment de la force de ses petits bras frêle.
« COUPE ! »
« Sale pervers ! Ta essayé de mettre ta langue ! »
« Ils demandent du réalisme. Alors je leur en donne. »
« Je vais t'en donner du réalisme moi ! » s'écria t'elle tout en levant avec fermeté son poing.
« Evoleth ! On tient à ce que l'acteur reste présentable dans la scène. Après t'en fera ce que tu veux. »
« Très bien ! » lança t'elle au réalisateur avant de reporter son regard sur William. « Toi. Moi. Dans ma loge, après la scène. »
« Quand tu veux. Où tu veux. »
« Rêve. Les parties de jambe en l'air c'est terminé, maintenant on fait place à la boxe. »
« Le corps à corps y est toujours. »
« Bon les enfants, on peut reprendre ?! »

Jetant un regard noir vers l'équipe de tournage, elle essaya d'extérioriser toute son amertume pour son cher compagnon de scène et de se remettre au travail. Mais si on ne lui avait pas collé une scène avec cet énergumène, c'est certain qu'elle aurait fournis un meilleur travail. Reprenant à la scène du fameux baiser, elle grimaça avant de prendre un visage complètement neutre. Alors que le réalisateur marqua le commencement de la scène, leurs lèvres se touchaient à nouveau. Réticente aux moindres gestes qu'il pourrait faire, elle l'attendait au tournant. Le baiser se continuant dans la durée, il pausa ses mains sur les hanches d'Evoleth et finit par les remonter sans ménagement. Et au quart de tour la jeune femme lui avait répondu, en lui mettant une belle paire de claques.

« Coupe ... » s'élançât le scénariste dans un souffle de désespération.
« Sale profiteur !
« Les spectateurs ont besoin de choses concrète. Et vas pas me dire que ça te déplaît quand je te touche comme ça. Tu adores. »
« La prochaine fois je te castre. »
« Tu vois. T'attend que ça ! Me sauter à nouveau dessus. »
« Ne prend pas tes rêves pour des réalités. »
« C'est pas moi qui est sans arrêt sujet à des pulsions sexuels. » s'écria t'il assez fort pour que tout le monde entende.
« Hin ? Que .. Quoi ! »
« Evoly, Evoly, Evoly ... »
Prête à plonger sa main dans l'entre jambe du jeune homme, celui-ci attrapa avec vivacité sa main.
« Mais c'est que tu serais prête à le faire devant tout le monde ! Je ne pensais pas que tu étais autant excité ! » s'exclama t'il, toujours d'une voix portante.
« Argh ! Ferme là, tu veux ! »
« Non. J'aime te voir de démener devant ma supériorité. »
« Très bien. Tu as gagné. »
Déconcerté par les propos de la jeune femme, il l'a regarda d'un oeil attentif.
« C'est vrai. Je n'y arrive plus. »
« De ? »
« A faire semblant ! J'ai envie de toi, là, maintenant ! »
« ... »
« Fait pas ton timide. »
Et alors qu'elle lui parlait avec ses beaux yeux doux, elle se rapprocha de lui dangereusement. Son corps collé au sien, elle rapprochait ses lèvres des siennes ... et en deux trois mouvements William était plié en deux. Son genoux était malencontreusement arrivé sur ses bijoux de famille.
« Oups ! »
« PRI..ES..TLY !!!»



TOUJOURS SUR LE TOURNAGE DE THE SOFT PARADE; WILLIAM EDWARDS & EVOLETH PRIESTLY

« T'es nue là-dessous ? »

Après une matinée bien chargé en émotion sur le tournage, la jeune femme s'était accordée une petite pause entre midi et deux, pour se reposer les paupières en manque de sommeil. Elle s'était glissée dans le petit lit qu'offrait sa loge. Et avait elle pu eut le temps de fermer les yeux et de rêvasser, qu'un bruit vint la perturber. Et quel bruit ! Celui de la voix de William. Il était toujours là au mauvais moment. Enfin elle ne se rappelle pas à quel moment il était bon de le voir. Jamais, tout simplement.

« Sors de ma loge, Edwards ! »
« Sois pas égoïste, montre un peu. »
« Approche, et tu peux dire adieu à toute progéniture ! »
« T'es vraiment à poil ! »
« Sale pervers obscène ! »
« Tu fais tout pour que je vienne te rejoindre. »
« Ta raison. Je suis pas suicidaire à ce point. »
« Tu disais pas ça, quand tu étais dans mes bras autrefois. Du moins il y a un mois. »
Elle ne put réprimer une grimace, qui s'afficha clairement sur son visage empreint de d'agacement à l'égard de William.
« Avance ! C'est bien finis ce qui a pu être .. "nous". » s'arracha t'elle à répondre.
« Evoly .. »
« Arrête de m'appeler comme ça ! »
« C'est pas moi qui a commencé à être aguichante. Après je ne fais que répondre, comme tout homme qui se doit. »
« Un homme ?! Tu devrais revoir la description de ce qu'est un homme, et après on en reparlera. Mais tu as raison, ce qu'il me faut c'est un homme, un vrai et en l'occurrence je ne trouverais pas en ta personne. »
« Cela ne t'as pas empêché de me rejoindre tous les midi, dans les quatre coins de l'entreprise de tournage. »
« Juste par simple pitié. »
« Et encore par pitié, que tu en redemandais. »
« Dégage de là ! »
« Non. Non, mais non je me sens bien ici. Et tu m'as toujours pas répondu. »
« Non ! Ça te va ?! Maintenant fou le camp d'ici et laisse moi dormir en paix. »
« Non. Mais je peux arranger ça. En deux trois mouvements et on se retrouve nu tout les deux, comme avant. C'est tentant hin ?! »
« Très bien. »
« Je pensais qu'on tournerait plus longtemps autour du pot, mais ça me va. Allez hop ! » se précipita t'il d'annoncer tout en enlevant son T-shirt.
« Ne crois pas si bien dire. Un marché et mon corps est tout à toi. »
William releva la tête d'un air suspicieux, sachant d'avance que cela ne présageait rien de bon.
« Et quoi ? »
« 500 £ en cash. »
« Je ne vois pas vraiment ce que j'y gagne à perdre de l'argent. »
« Une journée où mon corps t'es offert sans que je rechigne quoi que ce soit. »
« Mais ça je peux l'avoir après et pour pas un centime déboursé. »
« Ce temps là est révolu. Alors tu fais ton choix. »
« Très bien les voilà. C'était ma paye aujourd'hui, tant à de la chance ! » s'exclama t'il, sourire aux lèvres, versant dans la main d'Evoleth l'argent et reprenant là où il s'était arrêté, son pantalon.
« Euh ... Quoi ?!!! Non, non, attend ! J'ai une autre condition ! »
« Ah non, ce ne sont pas les règles de l'accord. »
« On s'en fou des règles ! En plus de l'argent, après cette journée tu ne devras plus me faire de gestes mal approprié pendant les tournages, tu devras te contenter de nos rapport collègue de travail et c'est tout .. »
« Parfait, marché conclut. » s'empressa t'il de conclure, se jetant aux lèvres d'Evoleth.
Entre deux baisers, la jeune femme réussit à en placer une, déboussoler par le choix de William, qui n'était pas censé dire "oui".
« Attend, attend, ta bien entendu ce que j'ai dis ! »
« Oui, oui, oui. Allez on perd pas de temps. » il s'interrompt l'instant de se glisser dans le lit. « Ah mais à ce que je vois tu étais presque nue ! Tu sais pour moi, en sous-vêtement et nu c'est la même chose. »

Et alors que les mains de William tâtaient son corps sans ménagement, et que ses lèvres reprenaient possession des siennes, Evoleth s'avoua vaincu. Après tout, elle obtiendrait ce qu'elle voudrait après. Et même si elle ne se l'avouerait pas, le corps de ce cher Edwards lui avait manqué ses dernières semaines. Alors que leurs baisers prenaient de l'ampleur et que même la jeune femme s'était laissée entré dans le jeu, il s'arrêta net. Se dégageant du lit, il laissa Evoleth en plan. Les yeux écarquillés par l'arrêt soudain de William, alors qu'elle était prête à se donner à lui, la frustrait.

« Finalement ta raison, ça ne vaut pas le coup. Je préfère nos petites habitudes. Mais surtout j'aime te laisser en plan quand tu es comme ça. »
« Sale con ! »
« Un con dont ta énormément envie en cet instant. »
« Bon allez viens finir le boulot, et je te demande rien ! »
« J'aime tellement quand les rôles s'inverssent. Bon à plus tard. »



APPARTEMENT WHEELER; CALUM WHEELER & EVOLETH PRIESTLY

Poing fermé contre la porte du #151. S'acharnant depuis une bonne dizaine dans un vacarme qui ne manqua pas de réveiller quelque voisins. Mais toujours aucun signe de vie. Déconcertée depuis ces derniers jours, elle revenait sur les lieux du "crime". Enfin. Plus de cinq jours maintenant, qu'il se faisait passer pour mort. Cinq jours après, ce soir, leur soirée. Avait-elle seulement compté, pour elle ? Ce qu'elle commençait à croire fermement, s'immiscent ainsi dans son esprit.

« Fuir, quelle belle preuve de courage. » s'écria t'elle dans le couloir, se glissant contre la porte prête à siégé ici, tant qu'elle n'obtiendrait pas des réponses.

Calme plat. Aucun bruit ne provenant de l'appartement. Après tout, serait il absent ? Non. Pas à cette heure-ci. Du moins, elle ne le savait pas matinale. Mais rien ne pourrait la surprendre maintenant sur son compte. Était il ce genre d'homme qui s'amusait avec les filles comme de vulgaires jouets ? Le monde en était infesté, alors qu'elle soit tombée sur l'un deux, ne l'étonnerait guère. Et pourtant. Elle ne l'avait jamais perçut ainsi. Ayant écumé plus d'une relation de ce type, elle pensait les reconnaître maintenant. Où était elle, simplement entraîné dans une spirale, dont elle ne pourrait surement s'en sortir. Elle avait beau essayer de le comprendre, elle n'y arrivait pas. Pourquoi faire abstinence de tout contact avec la jeune femme depuis ce fameux soir. Ce soir, où elle s'était complètement donnée à lui. Elle s'efforçait de lui trouver des excuses, mais il ne pouvait en avoir. Pas, depuis tellement de jours. Même la meilleure amie de Calum, s'amusait à la fuir. Mais qu'est ce qu'elle avait fait de mal ? Elle aimerait juste comprendre, mettre un mot sur ce qu'il se passe. Quitte à être blessé. L'honnêteté est mieux que le mensonge. Pas vrai ? Dépassé la vingtaine d'années depuis un bon bout de temps, elle était en mesure de comprendre tout et n'importe quoi. Sauf peut-être que sa soeur soit la préféré des parents, mais pour ce cas là elle n'avait pas à s'inquiéter. Evoleth était bien la préférée.

« Tu ne restera pas indéfiniment cloîtrer chez toi. Comme moi je finirai pas par attendre éternellement. Mais tu crois pas que ce serait plus simple que .. »
« Evoleth ?! » s'élança une voix dans le couloir.

Coincée dans l'entrebaillure de la porte, elle pencha sa tête. Et avec stupéfaction, découvrit Calum. Une grimace se dessina sur son visage. Pour le fait d'avoir parler seule, fasse à un appartement vide. Le temps qu'elle se remette sur ses deux pieds, Calum se trouvait en face d'elle. Son air ne la rassurait pas plus sur ses dire.

« Mais .. euh qu'est ce que tu fais là ? »
Les yeux écarquillés par la question qu'il venait de lui poser, la désappointa d'avantage.
« Ce que je fais ici ? Bonne question. »

Quittant le regard du jeune homme, elle reprit la direction de l'ascenseur. Il l'avait dissuadé d'avoir des explications. Elle avait compris d'elle même. Du moins ce qu'elle croyait. Car après tout, elle était bien loin de savoir toute la vérité et de la connaitre.

Sweet Bienvenue
Jessica est cent fois mieux qu'Amber.

Shauni ~ Le design est tout simplement sublime
Merci

Lika ~ Va falloir que je te trouve un surnom


Hazel ~ Merci

YEAH. Ca devient urgent là.
Elle voulait pas vous vexez en disant que c'était moi, Shauni.

Depuis que tu essaies d'intimider les membres.
Hum hum.

Shauni ~ Je suis une délinquante


Lika ~ C'est clair faut que je me dépêche et se sera inévitablement en lien avec la SNCF


Bon alors pour pas de jaloux je vous aime toutes les deux

Ca, c'est sûr.
Pauvre Line, elle va faire une déprime.

Comment mes tentatives d'intimidation marchent

ET TOUT LE MONDE T'AIME.

Moi, y compris.

YEAH.

Genre, l'avatar le plus HIDEUX que la terre ait pu porter *PAF*

J'me le demande tiens

CHANGE