LIAM ••• oh dear what can I do ?

fiche d'identité.

Nom :

Le jeune homme ne porte pas le patronyme de son père, comme le voudrait si bien la coutume ; cela se serait fait si son géniteur ne s'était pas profondément épris pour ce qu'on peut reconnaître comme la plus grande féministe liverpuldienne de son époque. Ainsi, lors du mariage de Richard Ducks Trawmald et de Augie Jane Caldway, il était convenu que monsieur prendrait le nom de son épouse. Ce choix fût source de nombre de railleries, mais monsieur Caldway s'est peu à peu fait à la chose, quoique ça fait une raison supplémentaire à la maison pour se faire dominer par sa femme.

Prénom(s) :

Peu de mots coulent sur les appellations du fils Caldway, car rien ne suscite réellement l'engouement chez elles. C'est vrai, ses parents ne lui ont pas donné l'original même, celle-ci dans toute sa splendeur, surtout en son état brute. Ils auraient pu, pourtant, en vu de leurs esprits originaux et décadents. Néanmoins, ils se contentèrent d'un William Rwan. Comme la plupart des garçons, le concerné n'a pas réellement chercher à faire de chichis sur ses prénoms, qui ne reflètent pas grande chose à ses yeux, hormis peut-être un vieux souvenir de son oncle décédé et un ensemble de lettres qui vient de nulle part.

Surnom(s) :

D'un côté, on peut remarquer un relief certain dans l'avis du garçon. Personne, depuis qu'il est doté d'une réelle maîtrise de la parole, n'a crié William à son égard, mais Liam sous sa décision. Vous l'aurez compris, il n'y a que dans les divers établissements scolaires qu'il a fréquenté que on aura pu l'appeler autrement.

Date et lieu de naissance :

Liam est né une nuit de septembre étrangement tiède pour la saison, le 29 de l'année 1985, dans une maison moyenne de Liverpool.

Groupe :

Tout enfant déjà, le jeune William se plaisait à s'imaginer des centaines de personnages qu'il interpréta seul d'abord, puis prit ses camarades de la petite école au jeu. En grandissant, il acquit nombre d'autres passions, tout ce qui touche à la littérature en étant le meilleur exemple, mais conserva son goût pour le jeu d'un autre que lui. Il commença à prendre des cours de théâtre à l'âge de neuf ans et rapidement se vit être un très bon élève dans l'art qu'était celui d'anglais comme Shakespeare. Au moment de débuter ses véritables études, le jeune homme ne se doutait pas qu'il était sur la voie de la comédie. Liam Caldway possédait en effet bon nombre de qualifications envisageables, selon ses professeurs, en vue de son mental et de ses capacités intellectuelles, notamment en mathématiques, bien que l'on est toujours pu le voir prendre davantage de plaisir à manier les lettres que les chiffres, les nombres et leurs transformations. Même si la scène le passionnait toujours, il n'envisageait pas quelque chose de réellement plus poussé, alors ce fût un peu au hasard qu'il passa des auditions pour petits rôles, auditions qu'il réussit. Bien vite, le jeune homme se plût à être imbibé de l'ambiance des plateaux, entre les camarades de scène, les lumières chaudes diffuses par les projecteurs et les grands cris du metteur en scène. Il sacrifia de plus en plus de choses pour sa carrière d'acteur tant et si bien qu'il s'en préoccupa plus encore que de ses études qu'il dût rapidement mettre de côté, vu l'ampleur de plus en plus conséquente de ses rôles. Désormais, il se retrouve mêlé à l'adaptation cinématographique de l'ouvrage connu et reconnu "The Soft Parade" ce qui est, on peut le dire, quelque chose de plus que conséquent dans la vie du fils Caldway.

la malédiction.

Que pense votre personnage de toute cette histoire ? :

S'il y a bien une chose que je peux affirmer sans douter de ma parole une seule seconde, c'est que le fils Caldway n'a jamais cru ne serait-ce qu'un tout petit peu à la moindre superstition. Pourtant, il n'a jamais rien vu non plus en le hasard ou tout ce qui s'y rapporte. A ses yeux, les gens ont donné ce terme de malédiction, tout au plus pour se rassurer dans le sens que personne ne pourrait vouloir du mal à cette réalisation qui doit sûrement abriter son lot de mystère. Cependant il se doute bien que ces évènements tragiques remontent à la même source et que quelque chose qui dépasse sans doute la plupart des protagonistes du tournage, dont lui s'active énergiquement de manière à jeter froid et doute chez chacun. Sans vouloir trop se mêler de tout cela, Liam ne se gêne néanmoins pas pour obtenir deux ou trois informations éventuelles, tout à fait raisonnables, et ses investigations ne sont jamais trop poussées. Après tout, qui y a t'-il de mal à se renseigner sur une éventuelle terreur qui peut s'abattre sur vous ou vos proches d'un moment à l'autre ?

Votre personnage craint-il que la malédiction s'abatte sur lui ? :

Comme j'ai pu le dire ci-dessus, le fils Caldway n'est pas entièrement convaincu de tous ces dires, mais ne peut nier qu'il voit plus que de simples coïncidences sous les affres du passé. Il est donc méfiant envers chaque inconnu à la production et surveille de près les effluves de conversations douteuses qui peuvent lui parvenir. Sans se sentir lui-même particulièrement concerné par cette histoire, il sait que si une catastrophe venait à arriver, elle pourrait toucher n'importe qui, excepté si bien sûr s'il s'avère que quelqu'un de son entourage venait à plus pouvoir attirer cette mésaventure que d'autre et dans le cas suivant, il y a de fortes chances que le secret de ce complot reste à jamais suspendu entre la victime et celui qui aurait attenté à sa vie.

Que pense-t-il de Donna et Jay ? :

Ma foi, cette question revient bien souvent sur le tournage et dès le début, les diverses personnes participant au projet se sont questionnées à propos de ces drôles d'amis associés. De ses propres mots, Liam a avoué que, "sauf leurs respects, ils sont plutôt étranges, Donna donnant limite une image de névrosée alors que Jay fait penser à un sado machiavélique quand il vous regarde". Charmante description du jeune homme mais peut-être n'est-il pas si éloigné que cela de la vérité ? A mon humble avis, il essayait de rester poli : on ne sait jamais, si ça venait aux oreilles des deux concernés.

matière grise.

interrogatoire.

Avatar :

Je dois dire que jouer le sublimissime, le talentueux, le génial, le canon, le dieu, l'incroyable Paul McCartney (quand il était jeune bien sûr) me plairait plus que beaucoup. Si ce n'est malheureusement pas possible, je pense que Chace Crawford devrait faire l'affaire.

Pseudo / Surnom(s) :

Victoire, autrement dit la maîtresse attitrée de John Lennon avant le décès de celui-ci.

Que pensez-vous du forum ? :

Il n'est rien par rapport à George ; mais sans comparaison, contexte tout simplement génial (original qui plus est) et design indescriptible tant il pousse à cliquer sur le bouton inscription.

Où avez-vous trouvé l'adresse ? :

Mon ami très intime Ringo m'a conseillé d'y faire un tour.

Quelle administratrice préférez-vous ? :

Celle qui n'a jamais fantasmer sur Paul (je sais, c'est impossible si l'on est un individu de sexe féminin normalement constitué).

souvenirs.

-- VEILLE DU PREMIER JOUR DE TOURAGE "THE SOFT PARADE" - LIVERPOOL, 23 : 47.

Bon

commença Devon,

dis-moi franchement ce qui va pas, parce que là on est à la veille du tournage sur lequel on va bosser tous les deux, et on dirait que tu te retiens de pas t'immoler.

Liam sourit vaguement à la question de son ami et haussa les épaules dans un geste d'impuissance par rapport à la situation. C'était exactement le genre de signe qu'avait acquis Devon au fil des années et celui-ci se contenta de hocher la tête et appela le barman afin qu'il lui ammène quelque chose à boire. Au bout de quelques minutes sans un mot, le jeune Caldway se décida à rompre le silence et commença d'une voix monocorde :

C'est avec Sarra... Tu vois, ça va vraiment plus du tout, je contrôle rien, une vraie furie. Elle comprend pas, elle accepte que dalle, elle...

Mais quitte-la alors !

l'interrompit l'autre, en avalant une gorgée de la bière qui venait de lui être servie.

Quitte-la, comme pour toutes les autres et...

Mais bordel, il est là le problème !

coupa Liam. Il dévisagea un instant son interlocuteur qui essayait de se remettre du choc causé par la violence de la réplique plus qu'inattendue.

Je vais pas continuer comme ça tout ma vie ! En gros, je les drague, je me les fais et ça se termine un mois plus tard alors que je me dis "Bon, après tout, celle-çi était la bonne" ! Alors qu'en fait, elles pigent jamais rien, et que je me rends compte au dernier moment que j'ai pas une once de sentiment à leur égard. Bordel...

Après avoir poussé un soupir lourd de sens et s'être affalé quelques secondes sur le bar sous les yeux de Devon, Liam se redressa et lâcha enfin d'un ton extrêmement solennel :

Je peux plus continuer comme ça, mec. Je jure devant Dieu

et sur ces mots, il porta son regard vers le toit du bâtiment

que je n'essaierai rien de sérieux avant longtemps. LONGTEMPS, TRÈS LONGTEMPS.

Encore un profond moment de silence qui ne gêna nullement Devon, habitué aux sauts d'humeur de celui qu'il considérait presque comme son frère, et le laissa commander un alcool parmi tant d'autres qui lui permettrait sans doute d'avoir vaguement conscience une sérénité superficielle le temps d'une soirée. Bien rapidement, Liam vit Devon s'en retourner, prétextant préférer le laisser seul avec ses propres pensées, tortueuses et compliquées à ses propres yeux.

A demain, Caldway. Et essaie de dormir cette nuit.

Ouais, c'est ça, à demain.

Désormais livré à tous ses monstres, Liam prit sa tête entre ses mains et resta longtemps assis au bar, ne répondant pas aux questions des ivrognes qui passaient près de lui ou ne montrant aucun intérêt aux histoires de l'homme qui s'occupait alors du bar dans cette partie avancée de la soirée, tentant vainement d'échapper à ce qui le poursuivait. Une sensation de manque, un vide profond qui le torturait. Non pas qu'il était malheureux mais il semblait tout de même lui manquer quelque chose, qui lui ôtait toute inspiration lorsqu'il croyait le moment propice à l'écriture de quelques lignes poétiques, par exemple, ou bien lorsqu'il croyait le moment bien choisi pour placer quelques notes sur sa guitare. Il ne rentra chez lui qu'à cinq heures du matin, après avoir vaguement errer d'une rue à l'autre, sans pour autant avoir des réponses aux questions qui pouvaient résonner dans sa tête.

« Dîtes-moi juste... Quoi ? Ou devrai-je dire : Qui ? »

-- PREMIER JOUR DE TOURAGE "THE SOFT PARADE" - LIVERPOOL, 6 : 30.

Il n'était de retour que depuis une heure trente et pourtant il en avait déjà marre que d'essayer de trouver un repos inespéré qui ne viendrait pas. Il avait pris un cachet contre le mal de tête, puis deux et finalement un troisième, et ce jusqu'à ce qu'il se persuade enfin qu'il ne pouvait rien contre ça. Il ne savait même pas de quoi il parlait en le définissant par ça et il se dit que la meilleure chose à faire était de passer à la suite. Il s'alluma une cigarette qu'il coinça entre ses lèvres et commença à déambuler de ça et de là dans son modeste appartement, tout de même plus que correct pour un célibataire endurci comme lui. Ses pas l'amenèrent finalement jusqu'au petit balcon qui était axé à son salon et il s'appuya contre la rambarde en fer noir et laissa le paysage familier de la ville de Liverpool s'étendre sous ses yeux fatigués. L'air frais du matin lui plaisait et il profita de ce moment de solitude avec lui-même pour écarter toutes mauvaises pensées. Il écrasa le mégot dans un cendrier posé à même le sol et revint à l'intérieur histoire de se préparer un peu avant l'arrivée sur le plateau car après tout, mieux valait dégager une image positive lors du premier jour de tournage. Comme à sa traditionnelle habitude, il prit son temps sous les effluves de l'eau tiède apportées par le jet de la douche, et c'est bien connu, il s'agit là d'une thérapie journalière appliquée à tous et constamment régénératrice.

J'en connais une qui va t'aimer à vie. Laughing

Pour ce qui est de l'avatar, tu peux bien évidemment prendre Paul. Je ne pense pas que cela puisse poser problème. Smile

En tout cas, bienvenue. I love you

Une potentielle fan des Beatles parmi les membres, voir même le staff ? drunken

En tout cas, merci beaucoup pour la réservation de Paulie-le-magnifique love

Je suppose que ni lui, ni un de ses proches n'aura conscience de ce forum un jour et puis, dans tous les cas, il devrait se contenter d'être flatter le Macca, il perd pas sa notoriété. Razz

OH YEAH UNE FAN DES BEATLES! I love you

Bienvenuuuuuuueeeee!

Finalement, il n'y aura peut-être pas grand monde à convertir au charme des Fab4.

Attends, tu sous-entends pas là qu'il existe des gens qui ne sont pas... fan des Beatles ?
Arrêtes. dead

Bienvenue !

Moi j'aime pas plus que ça les Beatles
Bienvenue

Je t'aime déjà calin

Bienvenue =D

Bienvenuee love

Tu vas sûrement recevoir des propositions de viol, mais n'aie pas peur

OH MY FUCKING GODNESS TOI JE VAIS T'ENMENER SUR UNE ILE, T'EPOUSER ET TE GARDER POUR TOUJOURS
JEN REVIENS PAS Shocked

SI JE MEURS DANS LES 30 SECONDES, ON SAURA POURQUOI
PAUL JE T'AIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIMEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEE
dead

T'as oublié un " dead

" à la fin de ta liste pour la compléter, Dulux Valentine (bah comme les peintures, faut bien te trouver un p'ti surnom Magenta

*out*

Oh et bienvenue aussi, tu diras merci à Ringo d'avoir parlé du forum *out*

Je suis trop trop contente que la maitresse de Johninou aka Dieu s'inscrive mouah

Evidemment il nous faudra un lien, et le meilleur, sinon je.. non impossible de bannir Paulie. calin

Le loup > Ha oui mince *out*

Jai pas compris le surnom mais ça me va roule

Ca me donne envie de jouer des papys rockeurs dans leur jeunesse tout ça, même si en l'occurence, la jeunesse de Paulie est éternelle.

Impressionnant.

Nan mais elle a pris l'amour de ma vie. J'crois que j'men remettrai jamais dead

Voilà ce que je dois supporter tous les jours. Laughing

Je déconne, je t'aime Syringa. I love you

Je suis consciente de passer pour une obsessionelle mais bon ptdr

J'espère bien I love you

Si j'avais du crédit j'aurais apellé Claire pour lui dire roule

~~Ringo dit que c'est rien si ça peut faire plaisir à quelqu'un~~

~~moi~~

j'

Franchement je t'en serai reconaissante à vie. Je pense jouer John sur un prochain forum, pas Paul, j'ai pas envie de le voir avec une autre femme que moi, Claire ou Linda roule

Et du coup tu me replonges dans une période d'amour obsessionel pour Paulie. Tant mieux d'un coté, j'oublies pas l'homme qui a changé ma vie, mais d'un autre coté je vais plus penser à rien d'autre pendant 1 mois roule

Bon j'arrête

Merci encore de l'avoir pris, j'aurais jamais pensé que ce serait possible de le voir un jour sur un RPG parmis des gens qui pourraient être ses petits enfants. meugnon

Je dois avouer que j'ai hésité entre Johnny-chou et Paulie-d'amour mais finalement je suis dis que je pourrais jouer les deux tôt ou tard.

Et que Paulienounet, ben c'est PAULIENOUNET QUOI. Comment pourrais-tu OUBLIER PAULIE ? youhou

John = Dieu et pis Paul c'est le dieu d'une catégorie bien précise

Non, Paul c'est l'amour, la vie tout simplement. Parcontre c'est décevant qu'il soit pas plus activiste que ça, enfin il l'est pas pas autant que du temps de Linda.
Oublier dans le sens oublier tout ce qu'il a fait pour moi sans le savoir, mais Paulie ne s'oublie pas entièrement, évidemment roule

J'espère bien que ce n'est l'oublier que dans un sens, sinon... fouet2

John sera touuuujours un Dieu à part love

C'est clair, là il est décevant Paulie, c'est dégueulasse que la vie est reprit Linda alors que Linda maintenait Paulie de façon à ce qu'il rocks toujours et que Linda rocksait tout court. BORDEL JOHN QU'EST-CE QUE TU FOUTAIS. C'est comme Georgie qui est mourrût des suites d'un cancer de la gorge, nawak quoi. Pourquoi les héros de ce monde meurent-ils tous de manière atroce ? Heureusement Paulie is still alive et on peut toujours l'imaginer avec quarante ans de moins trèèèès aisément.

Attention, étant donné que tu as pris Paulinou, les menaces de fouet sont inefficaces, sauf si tu veux que je t'aime encore plus.

Vi

Keith Moon aussi, il me maaaaaaaaaanque. C'était un ami de Ringo et le parrain de son fils, pauvre Ringo, il a enchainé, Keith en 78 et John en 80.
Il n'a tellement pas changé love

Owi aime-moi encore plusseuh love

Pauvre Riri. silent

J'dois avouer ne pas connaître ce Keith. Quand même, Georgie, ça me fend le coeur quand j'y repense. T_t Moi j'suis triste pour Brianou aussi youhou

Keith Moon c'est le batteur des Who love

Moi enfait j'ai jamais vraiment été desemparée pour George, même si je l'aime beaucoup, dans un groupe yen a toujours un sur qui je fait pas une fixette enfait.
Brian Jones ?

Moi quand on me dit Brianou je pense à Brian May, car moi pas du tout être fan des stones, mais moi être très fan de Queen

EDIT : Ou alors, parlais tu de Brian Epstein ?

Je le connais pas bien, mais si c'est de lui dont tu parles, ça m'étonne vu qu'apparement il était à fond sur TON John ptdr

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