FICHE DE PRESENTATION || Diana Cooper.

Bah oui. Mais peut-être moins connus.

souvenirs.

Assise tranquillement devant la télévision de sa chambre à regarder un film avec son chien Calimero, la sonnerie de son téléphone se mit à retentir dans toute la pièce. 22h 45, qui pouvait vraiment l’appeler à cette instant. Elle jubila n’ayant pas forcement le courage de se lever de son canapé confortable pour répondre, chose qu’elle fut tout de même contrainte de faire. Elle décrocha donc, puis finit par dire d’un ton presque rouillé :

« Allo ? »

Au bout du fil, une voix masculine qu’elle n’avait jamais entendue auparavant s’apprêtait à parler :

« Oui, Mademoiselle Cooper ? Je vous appelle à propos de votre père. Il s’avère qu’il est avec nous… »

Avant même qu’il n’eut finit sa phrase, que Diana s’était mise à paniquer. Elle se mit donc à harceler le jeune homme qu’elle avait tantôt coupé.

« OH MON DIEU ! Il va bien ? Qui êtes vous ? Il a encore fait une crise ? … »

« Mademoiselle calmez-vous. Je vous appelle parce qu’on a surpris Monsieur Cooper taguer sur une voiture de police. Et il risquerait fortement de passer la soirée avec nous. Il nous a demandé de vous prévenir. »

Et voila qu’il s’était remis à la provocation. Il était toujours à se mettre la police sur le dos celui là, et avait souvent séjourné en prison avec ses idées hippies parfois ridicules. Elle soupira donc, puis démarra sa voiture et se retrouver au poste de police. C’était vraiment humiliant de justifier les actes d’un homme de bientôt soixante ans et qui agit comme si il en avait vingt. Elle avait promit à l’agent de le surveiller la prochaine fois, une promesse qu’elle faisait à tout les coups mais qu’elle n’était pas vraiment apte à respecter. En même temps elle ne pouvait l’enchainer à son fauteuil devant la télévision. Pourquoi ne faisait-il pas comme les autres hommes de son âge, quitte à devenir un vrai alcolo, au lieu de ça, il s’amusait plutôt à fumer toutes sortes d’herbe et manifester pour un oui ou pour un non. Après avoir payé sa caution, elle finit par le raccompagner chez lui, puis rentra chez elle après avoir raté le trois quart du film qu’elle avait commencé.

Citation :

Le 27 juin 2008

OBJET : Projet du film William Trent

Lettre adressée à Mademoiselle Diana Cooper,

Chère Mademoiselle Diana Cooper,

Nous avons bien reçu votre CV envoyé le 21 mai 2008 concernant votre participation à notre futur projet de film, l’adaptation du film de William Trent, en temps que costumière et nous vous en remerciant.
Il va s’en dire que les modèles que vous avez joints à votre candidature répondent parfaitement à nos attentes.
C’est pour cette raison, que nous avons la grande joie de vous annoncer que votre participation a été requise et que désormais nous vous comptant parmi notre équipe.
Vous êtes attendu le 7 octobre 2008, à 11h avec un entretien finale avec un responsable local.
Si cette date ne vous convient pas, veuillez nous contacter au numéro ci-joint : 0 800 402 340 54.

Nous vous prions de croire en l'expression de nos sincères salutations

« AAAAAAAAAAAAAAAAaaaaaaaaaaaaaaaaaaaah !!!!! Mamaaaaaaan, Papaaaaa ! »

Il va s’en dire que la réaction de Diana ne se fit pas attendre, de nature plutôt calme et discrète, l’étonnement de ses parents fût assez rapide. C’est vrai qu’il n’avait pas pour habitude de la voir sauté de la sorte. Enfin, elle ne l’avait pas fait depuis l’âge de cinq ans, à l’époque c’était un enfant très agité, qui par moment monté également sur les murs. Mais juste après son adolescence, Diana était devenue quelqu’un de sérieux. La voir dans cet état ce n’était pas commun. Jane, sa mère qui était dans la cuisine entrain de confectionner un délicieux repas et Pierre son père qui lui à son habitude chercher sur internet une manifestation probable se dirigèrent vers la porte d’entré. Devant eux, se tenait Diana avec une enveloppe dans les mains… Voyant leur tête, elle laissa échapper un rire avant de leur expliquer :

« Je vais être costumière dans le film que je vous ai dit. Ils m’ont accepté !! »

Il faut savoir que cet événement avait longtemps été attendu dans la famille Cooper. Ayant un peu trop chômé après avoir reçu son diplôme. La belle avait longtemps attendu cette lettre, ayant presque perdu tout espoir, la voila qui allait sans doute travailler au service d’un film qui allait sans doute faire fureur.



Deuxième scéne. Atelier de travail.
SHANNON KENNEDY & DIANA COOPER.

Une aiguille à la bouche. Tout en rajustant le costume du jeune homme, la jolie châtains l’écouté parler d’un air amusé.


SHANNON : Tu vois, après je savais plus quoi faire. T’aurais fait quoi toi ?
DIANA : Arrête de bouger.
SHANNON : (tout en ébauchant un sourire, oubliant presque ce qu’il racontait). Avoue t’aime ça quand je bouge.
DIANA : Pourquoi t’es obligé de tout ramené à toi ?
SHANNON : Peut être que parce que t’aime ça … Aie, t’es folle.
DIANA : (qui remit à sa bouche l’aiguille qui lui avait servit d’instrument de torture pour piquer le jeune homme) Excuse moi. MAI t’arrête alors.
SHANNON : Ok très bien, j’arrête mais fait moi un bisou pour te faire pardonner.
DIANA : Cours toujours. Chéri. Et arrête de bouger, tu ralentis mon travail.
SHANNON : Tu résiste petite ?! Si tu ne me fais pas de bisou, je continue à bouger et tu risquerais de te faire virer… MAIS AIIIE.
DIANA : Bon, ça suffit !!! Tu es vraiment chiant quand tu le veux.
SHANNON : C’est toi qui me malmène. Mais j’avoue, j’adore quand tu me maltraite. Ça te rend encore plus sex’.


Diana avait exquis un petit sourire à la dernière phrase du jeune homme. En même temps, que pouvait elle vraiment répondre à ça. Elle avait continuer son travail, tout en l’écoutant parler. Arriver à l’ajustations de son pantalon il s’était remis à la taquiner :


SHANNON : Tu sais, tu n’es pas obligé de suivre à la lettre le proverbe qui dit que toutes les femmes sont à mes pieds… Mais j’avoue je suis touché.

Et c’était repartit pour une nouvelle séance de vannes gentilles certes, mais qui en disait beaucoup sur leur état d’âme. Diana avait eu beaucoup d’affection pour l’acteur le plus prétentieux, et coureur de jupon du film. Mais elle commencerait aussi à avoir du mal à contrôler ses sentiments pour ce dernier, et ayant trop peur de n’être qu’une conquête de plus pour ce dernier, jouait les résistantes choses qu’elle savait parfaitement faire.

Bon c’était plutôt rare qu’elle s’accorde une pause de cette façon, mais il l’avait tellement insisté. Elle sirotait doucement son encore très chaud, tout en parlant au jeune Shannon. Il avait tout de même sorti les grosses lunettes et la cassette pour ne pas se faire remarqué, la grande classe il faut avouer. Tu parle d’une discrétion… Elle le regarda d’un air amusé, jusqu’à cette fameuse question. Elle hésita légèrement à répondre. Depuis quelques temps Diana se confiait au jeune acteur, bien qu’elle savait pertinemment qu’il fallait tout de même s’en méfier. On ne sait jamais, les acteurs avait tendance parfois à lâcher le mot de trop… Elle passa donc légèrement sa main dans ses cheveux, avant de se pencher vers lui tout en parlant doucement :

« Ok… Bon, tu l’as deviné. Je suis encore vierge. »

Se recevant la moitié du cracha et jus d’orange sur le visage, elle fut elle-même choquer de sa confidence, chose qu’elle regretta rapidement, lorsque Shannon se mit à parler… ASSEZ FORT.

« T’es sérieuse ? T’es encore une fraîche ? T’as jamais cou… »

Très vite il se tut sentant un vilain coup de pied du coté de son interlocutrice déjà mal à l’aise de son aveux. A vrai dire, elle avait également regretté de l’avoir confié à cet abruti.

« Oh mon dieu, c’est… Tu sais que c’est rare les filles comme toi. Si tu veux je peux t’aider à devenir normale. Il y a pas de problème. »

Un second coup de pied se fit ressentir. En même temps Shannon était tout sauf discret, même du haut de son camouflage pour éviter de se faire reconnaître. Diana avait aussi entendu un léger ricanement à la table derrière elle, qu’elle pris pour elle d’ailleurs. Assez vexé, elle dit d’un ton ferme :

« Tu m’énerves. C’est bon je te parle plus. Je m’en vais ! »

Alors qu’il avait tenté de la retenir, elle avait enfilé d’une vitesse incroyable son manteau le laissant payer son verre. Tout de même. Mais le lendemain, elle lui avait déjà pardonné tout en lui faisant un gros câlin.

Je valide.