_# Loreleï I. N. Stevenaert.

fiche d'identité.

Nom : Stevenaert
Prénom(s) : Loreleï Iris Nola
Surnom(s) : Svetlana. Non, aucun rapport avec aucun de ses prénoms. Seulement les restes de ses soirées arrosées d'alcool : quand elle est ivre, Iris se présente presque systématiquement sous le nom de Svetlana Petrowski et flirt en russe... Le reste du temps, elle se satisfait de Iris et sort les crocs lorsqu‘on tente de l‘appeler Riri. La seule personne à l'appeler Loreleï reste sa mère, ce dont la jeune femme a horreur.
Date et lieu de naissance : 21 Novembre 1983, Paris.
Groupe : Actrice

la malédiction.

Que pense votre personnage de toute cette histoire ? : Iris aimerait dire qu'elle ne croit absolument pas à ce conte de fée. Qu'elle pense avoir plus de chance de se faire éventrer par un sanglier que de voir la malédiction se révéler fondée. Que ce ne sont que des balivernes, un tissu de mensonges tout juste bon à faire parler du film. Un coup de pub, en somme. A vrai dire, c'est précisément ce qu'elle s'était dit la première fois qu'on lui avait parlé de cette étrange malédiction ; elle avait simplement rit au nez de son interlocuteur. Mais le fait est qu'elle ne sait plus vraiment ce qu'elle est censée penser. Aussi rationnelle et cartésienne soit-elle, être soi-même impliqué dans cette histoire empêcherait n'importe qui de réfléchir logiquement. Même ceux qui se targuent haut et fort de n'avoir peur de rien semblent soudain tendu au moindre bruit suspect. Iris, elle, ne se targue de rien mais n'est pas devenue superstitieuse pour autant. A vrai dire, elle n'a tout bêtement aucune certitude à ce sujet. Elle observe simplement, travaille assidûment son rôle, et attend... Qu'il se passe quelque chose.
Votre personnage craint-il que la malédiction s'abatte sur lui ? : Admettons que la malédiction existe bel et bien. La jeune Stevenaert pense qu'elle aurait plus à craindre de voir un jour surgir Wolf Schafer munit d'une hache mal aiguisée pour l'achever que d'être victime elle-même de la malédiction. Non pas parce qu'elle ne croit pas en cette malédiction, mais simplement parce qu'elle estime qu'au rythme où vont les choses, Wolf risque vraiment de vouloir attenter à sa vie avant la fin du tournage (a). Quant à la malédiction... A vrai dire, Iris a beau ne pas être persuadée de son inexistante, elle n'arrive pas à en avoir peur. Toute cette histoire lui semble une telle folie qu'elle en perd un peu son sens des réalités, en même temps que sa capacité à la craindre. Et cette place laissée vacante a seulement été comblée par une sorte de curiosité fascinée...
Que pense-t-il de Donna et Jay ? : Jay... Iris en ferait bien son 16h. En fait, elle le trouve tellement à son goût qu'elle pourrait en faire à la fois son petit déjeuner, son 16h et son souper ! Bien sûr, cela restera strictement du domaine du fantasme. Ne serait-ce pas un terrible manque de professionnalisme que de s'envoyer en l'air avec le grand patron, vite fait entre deux prises ? D'autant plus qu'elle a bien remarqué - tout comme le reste des acteurs, de l'équipe de tournage, de Liverpool, du monde entier et de la galaxie en général - qu'il se passe quelque chose entre les deux patrons. Inutile de dire qu'Iris n'est pas très emballée par l'idée de se mettre la grande patronne à dos, simplement à cause d'une libido trop exacerbée. Elle tient beaucoup trop à ce rôle ! Enfin, cela ne l'empêche tout de même pas de reluquer à la dérobée les charmantes petites fesses du patron...

matière grise.

· Elle parle couramment 8 langues, dont le français, l’anglais, l’espagnol, le russe, l’italien et l’arménien.
· D’ailleurs, quand elle est ivre, elle drague et flirt presque exclusivement en Russe.
· N’est pas Russe pour autant. La jolie blonde est en réalité française, bien qu’elle n’ai vécut dans ce pays que durant les quatre premières années de sa vie.
· Adolescente, elle ne se souvient pas être restée plus de sept mois dans la même ville.
· En réalité, c’est à cause du métier de son père. Reporter sans frontière, il avait l’habitude d’entraîner avec lui sa fille vers chacune de ses destinations. Loin de la contrarier, Iris a toujours adoré ce train de vie un peu nomade !
· A sut qu’elle serait actrice à l’âge de 4 ans.
· D’un autre côté, à cet âge là elle croyait également savoir que le Père Noël existait et qu’elle se marierait un jour avec Aladdin…
· Elle était sur N-Y le jour où Obama a été élut. L’une des soirées (entendez par là : l’une des cuites) les plus mémorable de sa vie.
· Aucun adjectif n’est vraiment caractéristique de sa personnalité, si ce n’est lunatique. Son caractère est trop changeant, trop contradictoire pour être figé par des mots.
· La dernière fois qu'elle a vu sa soeur Mercy, c'était il y a 20 ans.
· Est capable de réciter Shakespeare dans 5 langues différentes.
· Ne supporte pas qu’on la prenne pour une blonde écervelée, mais se permet de jouer sur ce stéréotype au besoin.
· Sait qu’elle est une très mauvaise petite amie. A vrai dire, l’époque où elle était censée apprendre tout le B.A.BA relationnelle et amoureux, elle l’a passé sur les routes avec son paternel. Du coup, aujourd’hui elle se satisfait de relations simples, qui sans être toujours purement sexuelles, n’ont aucun avenir. Et lorsque les choses font mine de devenir plus compliquées, elle rompt.
· Est persuadée que Wolf Schafer l'adore, même s'il lui répète sans cesse que non.
· Son rôle sur The Soft Parade est son premier vrai rôle au cinéma. Jusque là, elle avait joué presque exclusivement dans des pièces de théâtre.
· Devient sociopathe généralement une semaine avant la première représentation d’une pièce.
· Ne supporte pas l’arrogance masculine. En fait, elle se fait toujours un plaisir de dégrossir les ego surdimensionnés de ses homologues masculins à coup de réparties bien senties.
· Ne tient vraiment pas l’alcool. Deux verres et la soirée prend un autre tournant…
· Ne rate jamais un épisode de How I Met Your Mother.
· Est plus grossière qu’une charretière lorsqu’elle a froid.
· Ne sort jamais sans un livre.
· Ne sort jamais sans 2L de caféine dans de sang.
· Ne sort jamais sans un paquet d‘Oreo.

interrogatoire.

Avatar : Elisha Cuthbert
Pseudo / Surnom(s) : Pixou, ou Selmichou, ou tout ce qui sera doux à votre oreille (a)
Que pensez-vous du forum ? : Encore plus beau, plus classe, plus fou que lors de ma première inscription sous le compte de Elliott Maugham !
Où avez-vous trouvé l'adresse ? : Bazzart.
Quelle administratrice préférez-vous ? : Je l'ai aiime toutes ! Facile comme réponse xD

souvenirs.







- Un double scotch s’il vous plait.

Sentant le regard interrogatif d’Harmony se poser sur elle, la jeune femme esquissa un sourire.

- J’ai toujours rêvé de prendre ce genre de boisson…

En fait, ce n’était pas l’exact vérité. Elle n’en rêvait pas depuis toujours. Seulement depuis le jour où elle avait aperçut sa sœur aînée, Mercy, commander la même boisson, dans ce même bar. Quelque minutes plus tard, les deux amies étaient s’étaient attablées autour de leur consommation et discutaient de leur projet de soirée, lorsqu’Harmony détourna la conversation vers un tout autre sujet. L’une des choses qu’Iris aimaient le plus au sujet de son amie : sa capacité à sauter du coq à l’âne sans même s’en rendre compte.

- Tant que j‘y pense, mon frère te passe le bonjour.

Les lèvres d’Iris se plissèrent en un sourire sarcastique.

- Vraiment ?
- A vrai dire, ses paroles exactes étaient « Tu diras à la blondinette antipathique qui te sers de copine qu’il faudrait qu’elle arrête un peu de sauter à la gorge de gens, ça lui changerait ». J’ai fait la traduction.
- Eh bien, tu diras à ton attardé de frère qu’il pourrait bouger son cul et venir me parler en face, si je lui manque tant !
- En fait, tu pourras lui dire toi-même, si ça te chante. Il a été désigné volontaire pour faire le chien de garde sur le plateau de tournage de ton film. Marrant comme coïncidence, non ?

Le sourire sarcastique qui flottait sur les lèvres d’Iris laissa place à une moue hésitante, mi-sceptique mi-amusée. Alors comme ça, elle allait avoir Robert Hanzmeyer sur le dos pendant tout le temps du tournage ? Sans savoir vraiment comment interpréter cette information, la jolie blonde but une gorgée de son verre et reprit la parole.

- Il est au courant que je joue dans ce film ?
- Bien sûr ! Pourquoi penses-tu qu’il ai été « désigné volontaire » sinon ?



***_¤_***



- Espèce de brut lobotomisé.

Cela ne faisait même pas dix minutes qu’Iris était tombée sur Rob ; pourtant ils en étaient déjà arrivés à échanger des mots doux.

- Blonde peroxydée.
- Chien de garde.
- Actrice de Soap.

La jeune Stevenaert allait répliquer, mais Hanzmeyer fut plus rapide. De ses lèvres, il emprisonna celles d’Iris et l’entraîna contre le mur dans un baiser fougueux et avide. Posant les mains sur le torse du policier, Iris s’apprêta à le repousser mais abandonna rapidement cette idée et s’agrippa au cou de Rob. Pourquoi se mentir ? Elle attendait ce moment depuis la minute où Harmony lui avait dit que son frère bossait sur le tournage. Et elle savait que ce moment arriverait ; ils arrivaient toujours. A quelque occasion que ce soit, peu importe le lieu ou la date ; lorsqu’ils se trouvaient seuls dans la même pièce, cela finissait toujours de la même manière. Iris n’était pas amoureuse de son ténébreux policier, et lui non plus. Mais à leur manière, ils s’aimaient. Il était le seul homme à avoir réussit à percer le mystère Stevenaert, à avoir plus ou moins cerné le personnage. Ils étaient chacun exactement ce que l’autre recherchait : pour Robert, le séducteur par principe, Iris était simplement une conquête de plus ; et pour Iris, l’engagementophobe par excellence, Rob était juste… Rob. Leur relation est simple. Clichée peut-être, mais pas complexe le moins du monde.

Leur baiser pris fin aussi subitement qu’il avait commencé. Entendant la lourde porte lambrissée de la pièce s’ouvrir, Iris repoussa fermement son amant et arrangea son chemisier qu’il avait commencé à ouvrir. Levant les yeux, elle croisa le regard de Wolf Schafer et rougit. Lorsqu’elle passa devant Robert, elle le darda d’un regard noir, comme s’il était le seul fautif.

- Dîner, 20h ?
- Dans ma loge, tout de suite.



***_¤_***



- Harmony, j’crois qu’t’es complètement dé-chi-rée !
- Non, ma chérie. C’est toi qui est ivre, corrigea gentiment Harmony.
- T… Tu crois ?! Noooon, j‘connais mes limites.

En vérité, Iris n’était pas ivre. Elle avait atteint un état d’ébriété que le mot ivre ne pouvait plus décrire. Qu’aucun mot ne pouvait décrire. Contrairement à son amie, la jeune Stevenaert supportait très mal l’alcool. Trop mal. C’est pourquoi elle ne buvait que très rarement, et quasiment jamais les soirs de semaine. Deux verres, et la soirée prenait un tout autre tournant. Inutile de préciser qu’en l’occurrence, elle avait largement dépassé le deuxième verre, bien qu’elle ai finit par perdre le compte.

- Laisse moi t’dire qu’si j’étais v’aiment bourrée, j’s’rais incapable de draguer ce type là-bas. Et là, j’paris que j’peux l’faire !
- Laisse tomber, Iris !
- Chuuuuuuut, intima la jolie blonde à son amie hilare, posant un doigt sur ses lèvres roses. Je m’appelle Svetlana !

Une seconde plus tard, elle tendait une main au jeune homme qu’elle s’était fixée de draguer, un sourire aguicheur aux lèvres.

- Hi ! Moi nom être Svetlana Petrowski… lança-t-elle avec cette adorable accent russe qui ressortait toujours lorsqu’elle était ivre.


***


Quelques heures avant l’aube, ce fut le martèlement de sa migraine intergalactique qui réveilla Iris, accentué par les ronflement sonore du jeune homme qui dormait à ses côtés. Daniel Gayle, s’était-il présenté, avant de lui faire l’amour… La jeune femme resta allongée un moment, épiant le bel inconnu dans son sommeil, avant de jeter un coup d’œil à sa montre. Paniquée, elle constata qu’il était bien plus tard qu’elle ne l’aurait cru.

- Merde, marmonna-t-elle affolée en ramassant ses vêtements. Merde, merde, merde !

Rapidement, à geste saccadés, elle finit par rassembler toutes ses affaires et s’habilla dans l‘obscurité. Quand elle se mit en quête de son sac à main, elle se rappela avec horreur qu’elle l’avait laissé à Harmony. Se frappant le front de la paume de la main, Iris se retint de pleurer et analysa succinctement la situation. Ses vêtements avaient des relents d’alcool, de transpiration et de cigarette froide. Elle était censée arrivée fraîche et dispo aux studios dans trois heures et elle n’avait pas un sous pour payer un taxi.

- Merde, merde, merde ! se remit-elle à couiner dans une litanie désespérée.

Ce n’était pas elle, ça. Elle, elle était du genre à devenir sociopathe durant les semaines précédant une grande représentation sans plus sortir de chez elle, à s’enfermer dans un placard à balai pour répéter sans être dérangée, à assommer à coup de théière les âmes perdues qui osaient l’interrompre pour des conneries et à sauter à la gorge des gens qui avaient le malheur de lui adresser la parole. C’était une fille sérieuse, bosseuse, pas une stupide fêtarde inconsciente. Dans le noir, Iris darda Daniel d’un regard assassin. Celui-ci lui répondit pas un ronflement particulièrement bruyant. Tout ça, c’était bien sûr de sa faute.

Arrivée à cette conclusion, Iris se sentit moins coupable de faire ce qu’elle fit alors. A tâtons dans le noir, elle chercha le pantalon de Dan et en ressortit son porte feuille. Le cœur battant un peu plus vite qu’à l’ordinaire, elle y préleva deux billets verts. Dans presque tous les pays du monde, son geste aurait été considéré comme de la prostitution. Merde, sa compagnie valait bien 20 £ non ?!



***_¤_***



Quelques heures plus tard, dans les studios. Profitant d’un instant de pause, Iris se dirigea vers la machine à café. Ce distributeur servait probablement les boissons les plus abjectes que la jeune femme ai eu l’infortune de goûter. Mais en l’occurrence, elle n’avait pas le temps de trouver mieux : il lui fallait sa dose.

Arrivée devant le distributeur, la jolie blonde tomba sur quelque chose de bien plus intéressant qu’un café. Quelqu’un. Wolf Schafer. Un sourire purement diabolique étira les lèvres d’Iris.

- Wolf, Wolfinou ! minauda-t-elle en lui sautant au cou. C’est vraiment formidable que tu sois là, il faut que je te raconte ma soirée d’hier. Une vrai folie !

Le visage du policier devint livide pendant une seconde. Visiblement, la compagnie d’Iris le mettait au supplice. Pour un peu, elle s’en serait voulut de le torturer à longueur de journée. Pour un peu.

- Pas le temps. Boulot.
- Raconte pas n’importe quoi, je sais bien que tu as toujours du temps pour moi ! Qu’est-ce que tu as de plus urgent à faire ?
- Rien en fait. C’est juste que je me fous complètement de ta vie.

Iris s’apprêta à répliquer lorsqu’elle entendit son nom hélé à l’autre bout de la pièce.

- Stevenaert ! Ton interview est là !

La jolie blonde pinça les lèvres en remarquant une lueur de triomphe s’allumer dans les yeux du policier.

- Bouge pas de là, prévint-elle en le menaçant du doigt. J’en ai pour 5 minutes !

Mais quand elle arriva devant le journaliste qui devait l’interviewer, Iris comprit qu’elle en aurait pour beaucoup, beaucoup plus que cinq minutes.

- Daniel ?!
- Svetlana ?

Ne ment pas, c'est moi que tu préfères.

Pleurez, CIE & Bertheeeee.

Une petite étoile ?!

(Re?!) bienvenue

Mais naaan c'est moi que tu préfères

L. Iris Stevenaert a écrit:

Pour la peine, tu as une invitation express pour notre grande partouze, dans la joie et dans la bonne humeur !

Yallaaaa ! Ou est ce qu'on signe ?

Wolf Schafer a écrit:

Yallaaaa !

Ooooh, mon mooooot Désolée.

Et bienvenue.

Bienvenue.

Je vais en baver .... HEEEEEELP

Herm ... Intuition masculine dirons-nous .... J'étais plus en sécurité à Bagdad ou à Kandahar qu'avec toi dans les parages !

HAHAAAAA !
J'ai déjoué la malédiction !
En fait, ça devait être un flic (comme moi) avec une pimbèche (comme toi sur ce coup là ).
Et un jour, il en a tellement eu marre qu'il l'a jeté en mer d'Irlande avec un bloc de béton au pied ...

Qui a dit que l'histoire se répétait toujours ?

J'ai mon .45 qui me chatouille dans le holster là ...
Attends, Svetlana, un chti coup de fil à passer.

"Ouais, Robert ? Wolf."
"..."
"Ouais, c'est pour ça. Fais chauffer la bétonneuse, je vais en avoir besoin rapidement là!"

Ta vie serait si morne et triste sans moi ...